Je ne vois pas d’autres façons de le dire : le roman me paraît manifester, de mille manières, que dans nos vies bien rangées, quelque chose de fantastique, de merveilleux, de scandaleux, d’énigmatique, d’historique et même d’unique peut se produire, s’est déjà produit ou se produira. C’est le chant de l’Accidentel.
À la probabilité dérisoire.
Peut-être est-ce pour cela que l’on croit les ennoblir en les déclarant universels. On nous donne le droit, alors, de les raconter à tout le monde.